ETHIOPIE / SECURITÉ : LES FORCES DE DÉFENSE ÉRYTHRÉENNES VICTIMES DE SABOTAGE

Depuis quelques jours Les soldats érythréens et éthiopiens sont dépeints, dans des affreux récits, comme des hordes en maraude qui tuent et violent des civils sans discrimination à volonté, sans aucune douleur morale ni responsabilité. Une véritable campagne de désinformation mise en œuvre par une certaine presse. Des médias se livrent à un jeu de reportages et des analyses négatives bâclées qui dépeignent les Forces de défense érythréennes (FDE) sous la lumière la plus dépréciant et la plus acrimonieuse.

Intox sur les Forces de Défenses Erythréennes

Certains des articles offensants vont plus loin en insinuant que les crimes horribles allégués sont, en fait, perpétrés avec des directives politiques expresses des échelons supérieurs de l’armée. C’est le cas d’un article publié le 21 mars dans un quotidien britannique, le Daily Telegraph, qui raconte des « viols collectifs » horribles, chose inconnue dans la région. L’article a été rédigé par des journalistes se livrant à du  journalisme obscur, une certaine Lucy Kassa et Anna Pujol-Mazzini citant avec crédulité des « victimes / témoins » qui affirment que les actes révoltants ont été commis par des soldats érythréens de manière méchante et délibérée pour « infecter les victimes du VIH ». Aussi infondé que cela puisse être, il est clair que le Daily Telegraph a publié des « témoignages » mensongers et manifestement planté sans vérification minimale des affirmations est épouvantable et inexcusable.

Malheureusement, le New York Times a publié un article similaire. Une autre allégation absurde colportée au cours des dernières semaines comprend «la politique de tirer pour tuer pour exterminer les jeunes du Tigré». Cette fois si les articles ont été publiés sur un blog en ligne de Martin Plaut et sur l’EEPA Update, basée à Bruxelles et financée par l’UE, par Mirjam V. Reisen. Il convient de noter que ces personnes ont régulièrement appelé à la violence et au changement de régime contre l’Érythrée. Les récits ci-dessus démontrent la campagne de dénigrement gratuit lancée contre les Forces de Défense Erythréennes. Les Africains devraient désormais connaître le rôle de préjugé joué par les médias occidentaux dans le but de provoquer la division et d’inciter à la violence parmi les Africains.

Bilan des FDE ses 60 dernières années

Les Forces de Défense Erythréennes ont maintenu un bon bilan au cours des 60 dernières années depuis le lancement de la lutte armée en 1961, lorsque toutes les voies diplomatiques et politiques pacifiques menées au cours des 20 dernières années pour faire valoir les droits nationaux inaliénables et de décolonisation de l’Érythrée étaient foulé aux pieds de façon flagrante. En raison d’exigences extérieures plutôt que de choix politiques, l’Érythrée a été enveloppée par des guerres prolongées qui ont exigé d’énormes sacrifices de la part de son peuple au cours des 60 dernières années. Les principaux rôles de l’armée en Érythrée ont été la défense contre les agresseurs extérieurs, la sécurité des frontières et le développement de la cohésion nationale.

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Il devrait être clair pour tout observateur raisonnable et objectif que les allégations sordides qui continuent d’être colportées au sujet de l’Érythrée sont absurdes et totalement fausses. Les FDE font simplement partie d’une campagne de propagande effrénée et de dernier recours menée par le TPLF et ses facilitateurs pour masquer les crimes et la culpabilité élevés du TPLF dans l’instigation du conflit et bouc émissaire des gouvernements érythréens et éthiopiens tout en apportant leur soutien, et en fin de compte à fournir une bouée de sauvetage, à tout ce qui reste de la clique du TPLF en grande partie disparue.