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ETHIOPIE / SECURITÉ : LES FORCES DE DÉFENSE ÉRYTHRÉENNES VICTIMES DE SABOTAGE
Depuis quelques jours Les soldats érythréens et éthiopiens sont dépeints, dans des affreux récits, comme des hordes en maraude qui tuent et violent des civils sans discrimination à volonté, sans aucune douleur morale ni responsabilité. Une véritable campagne de désinformation mise en œuvre par une certaine presse. Des médias se livrent à un jeu de reportages et des analyses négatives bâclées qui dépeignent les Forces de défense érythréennes (FDE) sous la lumière la plus dépréciant et la plus acrimonieuse.
Introuvables depuis des années, le Biélorusse Yuri Sushkin et les Ivoiriens Patrice Ouei et Ange Gnanduillet Attualy, les pilotes et co-pilotes présumés du raid, sont jugés en leur absence pour assassinat, tentative d’assassinat et destructions aggra
« Cette peine maximale, je l’aurais aussi requise si les accusés avaient été là, commence l’avocat général. Car ce qui la justifie, c’est la violence inouïe des faits et montrer qu’on n’assassine pas impunément nos soldats quand ils sont là pour maintenir la paix. » Et le magistrat de détailler les éléments contre les accusés : identification, préméditation… Car, insiste-t-il, « la France ne se venge pas, elle condamne avec ses règles, justes et démocratiques. En vous proposant cette condamnation, j’achève de faire mon métier. J’entreprends maintenant de faire mon devoir. »
Covid-19 : au Sénégal, les réticences face au vaccin font le bonheur des plus pressés
Crainte des effets secondaires, doutes sur la gravité de la maladie, scepticisme vis-à-vis de la vaccination… Les habitants ne se bousculent pas pour recevoir leur dose.
Les terroristes exigeraient «l’enseignement de l’arabe» pour cesser les attaques d’écoles au Burkina Faso
Depuis 2015, les écoles burkinabè subissent des attaques terroristes allant jusqu’à des viols et des meurtres. Mahamadou Sawadogo, spécialiste de l’extrémisme violent, indique à Sputnik que les habitants sont entrés en contact avec ces groupes armés qui leur auraient communiqué l’une des exigences de la paix: l’enseignement de l’arabe.
Sahel : l’insécurité alimentaire inquiète et mobilise
Pour la deuxième année consécutive, l’Afrique de l’Ouest doit se préparer à une crise alimentaire et nutritionnelle majeure. Les initiatives citoyennes et internationales se multiplient.
Rwanda: Balladur dit avoir empêché un soutien militaire au gouvernement génocidaire
L’ancien Premier ministre français Edouard Balladur a affirmé mercredi avoir évité en 1994 à la France de devenir un « acolyte » du gouvernement génocidaire hutu rwandais, en empêchant une opération militaire française à Kigali réclamée, selon lui, par l’entourage du président socialiste François Mitterrand. Au printemps 1994, alors que le génocide des Tutsi est en cours au Rwanda, « tous ceux qui prônaient une intervention de l’armée française étaient en fait favorables au gouvernement hutu », et voulaient le soutenir face aux rebelles tutsi du FPR (Front patriotique rwandais), a déclaré M. Balladur dans un entretien .
Comores: le gouvernement nie toute implication dans la mort du militaire à la retraite
Aux Comores, le ministre de l’intérieur a fait une mise au point mercredi à propos du décès d’un militaire retraité lors d’un interrogatoire dans une caserne. L’affaire agite le pays depuis une semaine car le corps avait été enterré sans prière puis exhumé par la famille pour identification. L’opposition accuse le gouvernement de couvrir une lourde bavure des forces armées, chef d’état-major en tête, au mépris même de l’islam, la religion constitutionnelle du pays.
Côte d'Ivoire: Ouérémi accablé avant le verdict dans le procès du massacre de Duékoué-Carrefour
En détention provisoire depuis huit ans, Amadé Ouérémi sera fixé sur son sort ce jeudi 15 avril dans l'après-midi. Le brigant de l’ouest ivoirien, accusé d’être responsable du massacre de centaines de personnes les 28 et 29 mars 2011 à Duékoué, encourt la prison à vie. Mercredi se tenait la septième journée de son procès, avec le réquisitoire et les plaidoieries.
une centaine des « filles de Chibok » toujours manquantes au Nigeria
Sept ans après leur enlèvement dans une école du Nigeria par les jihadistes de Boko Haram, une centaine des « filles de Chibok » sont toujours portées disparues, a rappelé mercredi Amnesty International.